L’hypnose ericksonienne est la méthode qu’exerce Pascal Brouard, hypnothérapeute depuis de nombreuses années qui réalise des séances d’hypnose ericksonienne à Paris 13. Cette méthode fait partie des plus efficaces, pourtant l’une des moins invasives pour apaiser les divers maux qu’ils soient physiques ou comportementaux.
L’hypnose ericksonienne possède la faculté d’aider les personnes qui souffrent de divers problèmes de santé, c’est à dire que ce soit des troubles physiques ou psychologiques. Ainsi si vous êtes à la recherche d’un hypnothérapeute à Paris 13 expérimenté et qui ne pratique pas la transe hypnotique, alors vous pourrez prendre rendez-vous chez Pascal Brouard dans son cabinet du 13ème arrondissement. Sachez également qu’il propose des thérapies personnalisées destinées à toutes les tranches d’âge.
L’hypnothérapie est une forme de médecine douce. En effet, cette pratique est complètement naturelle, et ne nécessite aucune prise d’un quelconque traitement médicamenteux, elle est aussi réputée comme étant non invasive. Pascal Brouard hypnothérapeute à Paris 13 accompagne depuis plusieurs années les personnes qui souhaitent se défaire de toutes sortes de maux comme les douleurs qu’elles soient chroniques ou passagères, après un accident, les troubles divers tels que ceux liées au sommeil, à l’alimentation, au sexe, à la digestion, ou encore à l’énurésie, etc.
L’hypnothérapeute peut également s’occuper des maladies psychosomatiques ou encore des troubles psychologiques comme le stress, la dépression, les troubles obsessionnels compulsifs, etc. Enfin il est aussi compétent en ce qui concerne les addictions en tous genres notamment pour l’alcoolisme, le tabagisme, certains médicaments, ou encore la toxicomanie.
Il est important de comprendre que l’hypnose peut également permettre à mieux gérer et à supporter les effets secondaires de traitements particulièrement lourds et contraignants comme la chimiothérapie, la radiothérapie ou encore la rééducation. L’hypnose aide aussi à améliorer la qualité de vie des personnes souffrant de maladies chroniques et dégénératives. Il est utile de préciser ici que les thérapies que je propose en tant qu’hypnothérapeute ne remplaceront en aucun cas un traitement médical adapté à votre état de santé. En revanche, elles peuvent être des adjuvants efficaces sauf lors d’une contre-indication émise par le médecin qui vous suit régulièrement.
La méthode que j’utilise en tant qu’hypnotiseur à Paris 13 est l’hypnose conversationnelle. Elle ne demande en aucun cas de plonger la personne dans une transe hypnotique. Elle permet simplement de changer son état de conscience afin d’atteindre son inconscient et agir/interagir avec ce dernier.
L’hypnose permet d’aider la personne à trouver par elle-même et en elle les origines de ses soucis et les moyens d’y mettre fin. Durant les séances, mes patients ne sont jamais endormis, ils restent entièrement conscients de ce qu’ils disent et de ce qu’ils font. Par contre, je leur demande de moins parler, en effet j’analyse avant tout le non-verbal, ce qui est l’essence même de l’approche ericksonienne de l’hypnose.
En tant qu’hypnothérapeute j’ai développé une technique personnelle d’hypnose conversationnelle, une combinaison d’hypnose et d’énergétique. En effet, je n’emploie la transe hypnotique profonde classique uniquement lors des séances dans le but d’arrêter le tabac. Ma pratique est personnalisée en fonction des besoins et les attentes des personnes qui viennent en séance. Néanmoins, en principe, je provoque le symptôme, l’amène à être désarçonné, recadré. J’emploie cette technique personnelle, parce que c’est avec celle-ci que j’ai les effets les plus concluants. Je tiens tout de même à préciser que l’obtention de résultats n’est pas forcément systématique, l’organisme et le psychisme de chaque patient étant différents et pouvant réagir de manière différente à l’hypnose.
Pascal Brouard, hypnothérapeute depuis de nombreuses années.
Je suis hypnothérapeute à Paris 13, psychanalyste lacanien, depuis 2004 j’ai décidé de m’orienter vers les thérapies brèves d’hypnose. Adhérent à mes débuts de l’ISH (International Society of Hypnosis), je suis également membre de l’AFNH (Association Française de Nouvelle Hypnose). Je participe souvent aux événements (ateliers, conférences, formations) dans le cadre de l’hypnose et de l’énergétique afin de continuellement perfectionner ma technique d’hypnose.
J’utilise l’hypnose ericksonienne à Paris 13 mais également et à Angers depuis 1996. Avec ce type d’hypnose je parviens à accompagner les personnes souffrant de troubles douloureux, qui désirent mettre fin à un vice comme la cigarette, à certains blocages ou à dépasser certaines émotions. De façon globale, il s’agit d’une hypnose thérapeutique non invasive, qui emploie des suggestions indirectes.
L’hypnothérapeute a recourt à des images afin de parvenir aux changements souhaités. C’est une pratique totalement respectueuse du patient. En effet, le praticien reste entièrement à l’écoute et s’adapte au mode d’expression du patient qu’il a devant lui en séance. On peut qualifier cette pratique de thérapie brève, puisque le nombre de séances d’hypnose dépendra de la problématique personnelle du consultant.
L’hypnose que je pratique dans mon cabinet de Paris 13 est un moyen qui permet d’aider le patient à s’approprier les ressources internes qui sommeillent dans son inconscient. Cette méthode aide ainsi à surmonter les difficultés personnelles sous tous leurs aspects. Comme je le disais plus haut j’allie l’hypnose à l’énergétique, ce qui m’apporte de très bons résultats, cela dit je tiens aussi à préciser que je n’ai pas forcément d’excellents résultats pour toutes les personnes qui me consultent, mais dans 9 cas sur 10 c’est le cas.
L’hypnose ericksonienne trouve ses racines dans les travaux révolutionnaires du célèbre psychiatre Milton H. Erickson. Il a développé une approche unique, fondée sur la souplesse et la créativité. Contrairement à l’hypnose traditionnelle, Erickson a utilisé des techniques indirectes, telles que les métaphores et les suggestions vagues, pour accéder à l’inconscient de manière subtile. L’hypnose ericksonienne établit donc une démarche d’ensemble qui profite à l’individu tout entier, par conséquent les bienfaits touchent à la fois le physique, le moral et le comportement.
Au niveau du corps, les séances successives parviennent à réduire la douleur et d’atténuer grandement les manifestations psychosomatiques, à remédier aux troubles dermatologiques, à se préparer physiquement par exemple lors d’un accouchement ou d’une grande compétition sportive. Les personnes que j’ai aidées ont pu dépasser certains problèmes de santé comme le psoriasis et l’eczéma, mais également les douleurs parfois chroniques depuis de nombreuses années.
L’hypnose que je pratique est excellente pour le moral et apporte de grandes améliorations au niveau comportemental. J’ai beaucoup travaillé avec des personnes souffrant de phobies et d’angoisses, je suis également parvenu à aider certaines à lutter contre le surpoids, à leur faire arrêter la cigarette et l’alcool même la drogue.
Afin de mieux gérer ses émotions et d’avancer dans le développement personnel, l’hypnose est une bonne méthode. Par exemple, lors de mes séances d’hypnose ericksonienne à Paris 13, j’ai eu parfois des étudiants qui préparaient un examen très important, ainsi que des sportifs se préparant à des compétitions et qui voulaient une aide pour mettre toutes les chances de leur côté.
Il arrive que certains maux perturbent la vie de tous les jours, ils sont souvent associés à des troubles physiques, l’âge ou d’autres causes. Malgré leur caractère relativement bénin, ils peuvent tout de même nous handicaper et nous rendre la vie plus compliquée. On peut parmi ces troubles citer le cas des vertiges, les troubles du sommeil, les crampes ou ronflements, les tocs…
Par ailleurs, je tiens à souligner que l’hypnose ericksonienne, reconnue pour sa flexibilité et son approche adaptative, a démontré une fiabilité remarquable. De nombreuses études et témoignages soutiennent aussi son efficacité bien que les effets puissent varier selon les individus. Les résultats obtenus grâce à l’hypnose ericksonienne sont souvent durables, car cette méthode vise à travailler en profondeur avec l’inconscient, permettant ainsi des changements significatifs et de longue durée dans les comportements et les pensées. La nature inoffensive de l’hypnose ericksonienne en fait également un choix judicieux pour ceux qui recherchent des solutions alternatives aux problèmes de santé mentale et de bien-être.
L’hypnose ericksonienne est celle que je pratique dans mon cabinet à Paris 13. Étant également formé à la thérapie énergétique cela me permet de mettre à profit toute mon expérience personnelle, pragmatique et surtout inédite lors des séances d’hypnose que je propose. La technique d’hypnose du docteur Milton Erickson est de décrypter le sens du message d’un symptôme. C’est pourquoi, d’après la pratique de l’hypnose qu’il a élaborée, j’utilise le symptôme afin de le recadrer.
L’anamnèse se définit par la prise de contact qui va permettre de récolter toutes les informations nécessaires à la préparation d’une induction et d’un protocole hypnotique bien ciblé. Cette anamnèse s’apparente à une prise en compte dans son ensemble du patient et permettra de mieux cibler la ou les problématiques de la personne. Ces informations à recueillir ne sont pas anodines et bien souvent, l’hypnothérapeute devra utiliser des techniques de questionnement plus poussées afin de mieux cerner les véritables motivations, freins et croyances limitantes de la personne qui le consulte.
C’est le premier moment d’échange entre l’hypnothérapeute et son patient et le plus important pour instaurer un climat de confiance nécessaire afin que la thérapie soit efficace car plus la personne se sent en confiance, plus elle lève de barrières, se livre dans des proportions plus importantes, entrera en état d’hypnose facilement et intégrera d’autant mieux le travail qui est réalisé.
L’hypnothérapeute s’adapte constamment à son sujet pendant ses séances et s’efforce donc d’établir un bon lien de confiance. C’est à lui de mettre ses techniques et son savoir-faire et être au service des besoins de son sujet. Cette flexibilité comportementale du praticien passe par le savoir-être ericksonien.
L’hypnose ericksionienne consiste à l’adoption de techniques telles que l’utilisation du VAKOG, de la bulle proxémique, de la calibration, des techniques de tri sur l’autre afin de mieux calibrer son sujet pour se synchroniser avec lui.
Durant l’anamnèse principalement, l’entretien n’est pas unilatéral et le thérapeute va se servir de l’ensemble des éléments que lui apporte son sujet pour communiquer avec lui et construire sa séance d’hypnose.
De surcroît, les émotions négatives sont généralement liées à une perturbation du système énergétique de notre corps d’où la complémentarité de l’hypnose et de la thérapie énergétique lors de mes séances à paris 13. Le PreTalk représente l’échange préliminaire entre l’hypnothérapeute et le futur hypnotisé. Cela concerne les interactions qui ont lieu après la prise de contact, et avant le véritable début de la séance d’hypnose.
Par ailleurs, lorsque vous venez me consulter dans mon cabinet de Paris 13 afin d’arrêter de fumer rien ne garantira forcément la réussite du processus. Finalement, j’ai envie de dire que l’on se fiche du nombre de gens qui ont arrêté la cigarette après être passé dans mon cabinet, je pense que le plus important c’est tout simplement vous. Il est impératif que vous vous investissiez dans la séance qui ne fonctionnera que si vous vous consacrez entièrement à elle.
Dès que vous franchissez la porte de mon cabinet à Paris dans le 13ème arrondissement, le Pretalk commence. Ainsi avec ce dernier, je cherche immédiatement à entrer en contact avec votre inconscient en me mettant dans la même posture que la vôtre, en me calant sur votre respiration, en utilisant votre langage, mais aussi en modulant le son de ma voix. Avec cette méthode, je peux complètement m’imprégner de vous pour comprendre et à la fin terminer par m’effacer durant la séance d’hypnose. En fait, le PreTalk débute plutôt à l’instant de la prise de contact, c’est à dire au moment auquel vous me téléphonez pour obtenir un rendez-vous. Sachez que je vais vous donner plusieurs directives, telles que l’heure précise à laquelle vous devez appuyer sur le bouton de la sonnette, la préparation d’un chèque, ou tout ce que je juge nécessaire que vous fassiez. En aucune façon je vous demanderais quelque chose que vous ne pouvez pas faire ou qui pourrait être dégradant pour vous. Le but est avant tout de prendre le lead, c’est à dire prendre le rôle d’une sorte de chef de file, de meneur. Si la personne qui vient me voir à Paris (13e arrondissement) ne me laisse pas du tout prendre cette place, la réussite de l’hypnose pourrait être compromise.
En tant qu’hypnothérapeute, je vais chercher à m’imprégner de votre personne dans sa globalité afin de vous comprendre pleinement et de pouvoir, au terme, communiquer directement avec votre inconscient. Pour se faire, il s’agit d’analyser votre discours afin d’en dégager ce qui vous définit tel que votre culture personnelle, la façon dont vous formulez vos phrases, jusqu’à ce que je me fasse une idée relativement précise de votre structuration de pensée. Cela me permettra également de m’assurer de votre coopération au processus.
Le fait de s’adapter à votre personne est le meilleur moyen pour que la séance fonctionne et pour que vous finissiez par vous adapter à moi. Ce principe de synchronisation est notamment basé sur les neurones “miroirs”, cette notion permet de mieux comprendre la façon dont fonctionne l’hypnose conversationnelle. Cette découverte des neurones miroirs est récente. Nous pouvons la rapprocher de quelque chose d’universel : Lorsqu’une personne se met à bâiller devant nous, les neurones miroirs nous transmettent cette envie de bâiller. Ils participent à l’apprentissage et jouent un rôle dans notre empathie.
Lorsque vous passez la porte de mon cabinet de Paris dans le 13ème arrondissement, je n’observe comment personne se déplace, la manière dont elle agit ce dont elle peut me parler. En effet, une personne peut tout à fait se montrer réticente dans ses dires, mais ses actes peuvent révéler complètement l’inverse de ces derniers. Le non verbal est le plus important.
En tant qu’hypnothérapeute, j’utilise constamment de tels outils pendant le PreTalk, et cela ne peut fonctionner qu’à condition d’avoir l’ascendant. Atteindre le lead dans une thérapie hypnotique me permet de prendre le lead à une autre échelle. En effet, grâce à différentes techniques de synchronisation, je peux faire en sorte que votre respiration et votre rythme corporel général se calquent sur les miens.
Me concernant, la séance a déjà débuté, en revanche, pour vous, je n’ai fait que vous invitez à vous asseoir. L’hypnose n’a pas encore débuté mais vous êtes déjà en hypnose. C’est ce qui fait du PreTalk de l’hypnose conversationnelle. Cela en fait un outil très important pour garantir la réussite de la thérapie. Cette technique “remplace” aisément celle de la relaxation que certains utilisent. Il faut savoir que je suis un hypnothérapeute “anti-relaxation”. Pour moi, dire à un consultant “détendez-vous, vous irez mieux” c’est une bêtise. L’important est de modifier vos perceptions en vous calquant sur un rythme dit Ultradien; pour ce faire, il faut que vous soyez pleinement présent et non dans un état de somnolence. Il est important que je puisse me synchroniser à vous, à votre comportement, à vos gestes, à vos mouvements oculaires, etc… Je ne fais que chercher le lead.
Le PreTalk est donc une réelle et décisive préparation à l’hypnose, j’y insère des suggestions, des traitements post-hypnotiques ou même certaines métaphores. C’est en fait la partie la plus compliquée, la plus complète de la séance, mais c’est également la plus importante. Par ailleurs, il est classique que certaines personnes montrent des résistances psychologiques pendant un processus d’arrêt du tabac par exemple. Cela me montre aussi que j’ai pu prendre les rênes et que j’ai le lead, indispensable à la réussite de la séance.
Selon moi, il est totalement logique que les consultants aient des pensées suspectes à propos de l’hypnothérapeute et qu’ils nourrissent des doutes à mon sujet. Freud a étudié ce phénomène de suspicion, le qualifiant de « transfert négatif ». Il est quasi omniprésent entre un consultant et un hypnothérapeute. Dans le fond, vous venez à moi, dans mon cabinet de Paris dans le 13ème arrondissement, dans l’optique que je manipule vos idées, en ignorant la façon dont je vais m’y prendre. Il est compréhensible que vous n’ayez pas confiance à 100%. Tout comme il est normal que vous ne sachiez pas ce que je vais faire, car votre inconscient doit être surpris afin que l’hypnothérapie fonctionne.