Vous souhaitez recourir à l’hypnose pour soulager les effets de la maladie de Charcot Marie ? Pascal Brouard propose ce type de thérapie non invasive pour aider les personnes atteintes de cette affection à mieux vivre au quotidien. Hypnothérapeute à Angers et Paris, je propose des thérapies personnalisées destinées à toutes les tranches d’âge, mais en mélangeant l’hypnose et l’énergétique. Je précise toutefois qu’avec des résultats importants, je ne veux en aucune manière faire croire que ces résultats sont systématiques.
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La maladie de Charcot Marie ou maladie de Charcot-Marie-Tooth (CMT) ou encore neuropathie périphérique héréditaire sensitive et motrice est une affection neurologique héréditaire. Elle fait partie des affections neurologiques dégénératives et il n’existe aujourd’hui aucun traitement curatif, la maladie ne peut donc pas être guérie.
Or, elle est à la fois douloureuse et handicapante, de sorte que le quotidien n’est pas facile pour ceux qui en souffrent. Les médecins préconisent la kinésithérapie et l’ergothérapie ainsi que la prise d’antalgiques pour améliorer la qualité de vie des malades.
Spécialiste de l’hypnothérapie pour apaiser les douleurs, je propose des séances d’hypnose pour soulager les symptômes de la maladie de Charcot Marie à Angers et à Paris. Ma technique personnelle cumule les avantages de l’hypnose et de l’énergétique.
L’hypnose se présente comme une option intéressante pour alléger les souffrances dues à des causes physiques ou psychiques. Recourir à l’hypnose pour soulager les symptômes gênants de la maladie de Charcot Marie permettra de faire d’une pierre deux coups. Les séances contribueront à la fois à atténuer les douleurs physiques et les douleurs morales comme la dépression due à leur état qui font de l’existence du sujet un calvaire au quotidien, et à améliorer sa qualité de vie.
Psychanalyste lacanien, je me suis tourné exclusivement vers les thérapies brèves d’hypnose en 2004. Toutefois, pendant les séances, je demande aux consultants de moins parler, car j’analyse avant tout le non verbal qui est l’essence même de l’approche ericksonienne.
L’hypnose permet de prendre en charge diverses situations qui portent atteinte à la sérénité au quotidien, qu’il s’agisse de souffrances physiques ou psychologiques. Les personnes qui vivent avec des douleurs causées par des séquelles d’accidents, des maladies chroniques comme les rhumatismes, qui veulent se débarrasser d’addictions et de mauvaises habitudes, ou qui doivent faire face à des malaises psychologiques dus à des traumatismes, au stress ou à la dépression peuvent y recourir. L’hypnose est un soin en plus de vos professionnels de santé habituels.
J’ai développé une technique personnelle d’hypnose conversationnelle mélangé à l’énergétique pour soulager les effets de la maladie de Charcot Marie, entre autres maux. Je n’utilise la transe hypnotique profonde classique que pour l’arrêt du tabac. Dans mes séances je provoque le symptôme, je l’amène à être désarçonné et recadré. J’utilise cette technique personnelle, car c’est avec celle-ci que j’obtiens les meilleurs résultats.
Adhérent à mes débuts de l’ISH/Société Internationale d’Hypnose, je suis avant tout psychanalyste lacanien, j’ai franchi le pas vers l’exclusivité des thérapies brèves d’hypnose. Je reçois sur rendez-vous dans mon cabinet de Paris et je suis aussi présent à Angers.
Dans mon cabinet à Paris, je reçois des patients atteints de la maladie de Charcot-Marie-Tooth. Il n’existe aujourd’hui aucun traitement curatif en médecine conventionnelle pour cette maladie, mais dans mes consultations à Paris, j’arrive à soulager mes patients, à la fois physiquement et moralement en mêlant l’hypnose à des techniques énergétiques adaptées à ma pratique.
Malheureusement, je n’ai jusqu’à aujourd’hui pas de résultats satisfaisants sur la maladie de Charcot, appelée également Sclérose Latérale Amyotrophique (SLA). Je ne parviens à apporter qu’un soulagement temporaire sur cette Sclérose Latérale Amyotrophique. La maladie semble aller plus vite que moi, pour le moment.
Je développerai dans ce texte des éléments de compréhension sur la maladie de Charcot-Marie-Tooth.
La CMT est une des maladies neurologiques d’origine héréditaire la plus répandue.
Elle a été découverte en 1886 par trois médecins qui lui ont donné leurs noms : Charcot et Marie (qui étaient français) et Tooth (qui était anglais).
On recense en France 30 000 malades de la CMT (soit une personne sur deux mille cinq cent), également nommée neuropathie périphérique héréditaire sensitive ou motrice ou neuropathie sensitivomotrice héréditaire.
Elle touche indistinctement les individus quelque soient leur sexe ou leur âge.
Si la maladie de Charcot-Marie-Tooth ne provoque pas de mort précoce, elle se transmet de manière héréditaire, puisqu’elle est génétique. Une de ses caractéristiques principale est d’être neuromusculaire et évolutive.
Chez les personnes atteintes, les muscles des mains, des avant-bras et des mollets subissent une atrophie, car les nerfs sont touchés.
On distingue différents types de maladie de Charcot-Marie-Tooth pour lesquels les symptômes sont proches, même si la maladie peut trouver son origine dans des gènes différents. On dénombre en effet plus de 50 gènes différents qui peuvent être à l’origine de la maladie, et qui provoquent des formes distinctes.
Cette maladie a donc un grand nombre de variétés, pas simples à classifier, que les chercheurs ont classé selon 3 critères :
Avec ces trois critères, on obtient cinq grandes catégories de la maladie de Charcot-Marie-Tooth : la CMT1, la CMT2, la CMT4, la CMTX et la DI-CMT. La CMT3 a disparu.
Il y a également des sous-types pour chaque type de maladie de Charcot-Marie-Tooth, en fonction de la protéine dont la fabrication est atteinte par l’anomalie.(1A, 2A, … 1B, 2B).
Il est à noter que la recherche avance, mettant à jour chaque année de nouveaux gènes en lien avec la CMT, et donc que cette classification évolue.
La recherche sur cette maladie est très complexe puisqu’il faut travailler sur chaque sous-type de la maladie.
La Tomacula est une maladie assez peu éloignée de la maladie de Charcot-Marie-Tooth. On l’appelle également « Neuropathie Héréditaire avec Hypersensibilité à la Pression ». Elle provoque une neuropathie qui peut s’amenuiser avec le temps, même s’il est très rare que l’on récupère entièrement.
On peu enfin noter que d’autres maladies de Charcot-Marie-Tooth existent, mais elles sont soit très peu courantes, soit pas encore connues.
Cette maladie est relativement peu éloignée de la maladie de Charcot-Marie-Tooth. Je la soulage avec de bons résultats dans mon cabinet à Paris.
Il s’agit d’une maladie très peu répandue, qui provoque des paralysies temporaires et récurrentes des nerfs qui sont alors comprimés. Elle porte différents noms : Tomacula, neuropathie héréditaire (avec hypersensibilité à la pression) ou bien encore neuropathie tomaculaire.
Si la Tomacula et la maladie de Charcot-Marie-Tooth de type 1 (plus précisément CMT1A) sont relativement proches, notamment car elles impliquent la même protéine, la myéline, il y a entre elles une différence de taille : dans un cas il y a disparition d’informations génétiques alors que dans l’autre, il y a duplication.
Une analyse génétique est indispensable pour le diagnostic de cette maladie, que ce soit par le biais d’une biopsie nerveuse, d’un électromyogramme (EMG) ou bien d’une simple prise de sang (quand le gène atteint est identifié).
Grâce à l’EMG, on peut déterminer si c’est la gaine de myéline qui est atteinte, provocant une diminution de la vitesse de propagation de l’influx nerveux ; ou bien si les axones dégénèrent, sans modification de la vitesse de propagation de l’influx nerveux.
Grâce à ces différents examens, on peut savoir précisément de quelle maladie de Charcot-Marie-Tooth le patient est atteint. (type et sous-type).
Il est à noter que lors des soins que je pratique à Paris, je peux être amené à traiter tous les types de la maladie.
L’origine de cette maladie étant génétique, sa transmission se fait par un ou deux des parents.
Si le gène impliqué est dominant, il suffit que l’un des deux parents soit porteur du gène en question, pour que les enfants puissent en hériter. Ils ont alors 50% de chances d’en être porteurs.
Si le gène impliqué est récessif, il est nécessaire que les deux parents soient porteurs (sains) du gène impliqué pour que les enfants courent le risque d’en hériter. Si un seul des deux parents l’est, l’enfant ne sera pas porteur de cette anomalie génétique. Si les deux parents sont porteurs, en revanche, l’enfant aura une chance sur quatre de ne pas porter l’anomalie, une chance sur deux d’être comme ses parents (porteur sans développement de signes cliniques), et une chance sur quatre d’être malade. Ceux qui développeront la maladie et ceux qui ne feront que la porter seront susceptibles de la transmettre, mais pour que leurs enfants aient un risque de tomber malades, il faudra que le deuxième parent soit aussi porteur.
Concernant la maladie de Charcot-Marie-Tooth liée à l’X, assez courante, il est à noter que le sexe du parent porteur influe sur les chances de transmission. Si la mère est atteinte, les enfants ont 50% de chances d’être atteints, sans distinction de sexe. Si c’est le père, en revanche, il ne transmettra le gène qu’à ses filles.
En général, la maladie se manifeste chez le jeune adulte ou chez l’enfant.
Il arrive que les symptômes apparaissent très tôt sous des formes très sévères, dans ce cas, on est en présence de la maladie de Déjerine-Sottas.
Il peut arriver, même si c’est plutôt rare que l’apparition de la maladie soit due à une mutation spontanée du gène. Il est parfois difficile de différencier ces cas de ceux où il y a transmission héréditaire lorsque l’on ne peut pas avoir accès aux informations génétiques des parents.
La plupart du temps, les pieds sont les premiers atteints. Il y a perte de stabilité, de sensibilité, creusement. La démarche se modifie pour se rapprocher du steppage (la pointe du pied est toujours basse, si bien que pour marcher sans qu’elle ne traine, il faut soulever le genou assez haut) et les difficultés se multiplient : chutes, blessures, déplacements de plus en plus difficiles, déformation en griffe des orteils (à cause des tendons qui se tendent), fonte musculaire pouvant déformer les mollets.
Si la maladie touche les mains, ce qui n’est pas toujours le cas, c’est souvent dans un deuxième temps, plusieurs années après les premiers symptômes. Il devient alors compliqué de manipuler des objets ; comme pour les pieds, des déformations en griffe peuvent apparaître sur les doigts, les muscles s’atrophient, la force décroit. Ces symptômes se produisent généralement sur les deux mains.
Dans les périodes où la maladie croit, le sujet a très souvent des crampes.
Certains symptômes peuvent varier selon les sujets : les atrophies et déformations musculaires. En revanche, d’autres sont constants : la perte d’équilibre, la difficulté à rester debout, à gravir des escaliers, la maladresse au niveau des mains.
Sur les patients que j’ai suivis dans mon cabinet à Paris, ces symptômes, que ce soit au niveau des mains ou des pieds, ont très fortement diminué.
Il n’y a pas une évolution « type » de cette maladie.
Néanmoins, généralement c’est relativement lent. On peut aussi observer des « poussées » par exemple en cas de stress, chez les femmes enceintes ou en cours de ménopause, ou encore chez les adolescents.
Le degré d’atteinte et l’âge auquel les choses vont s’aggraver (si elles s’aggravent) sont imprévisibles, même entre parents. Certaines personnes vont « juste » avoir du mal à marcher alors que d’autres ne pourront plus se déplacer sans fauteuil, même si ces cas sont plutôt rares (une personne sur dix).
Il est à noter que l’espérance de vie ne diminue pas avec la maladie.