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J’ai acquis mes connaissances des lieux sacrés ainsi que de leur fonctionnement grâce à Jean-Jacques Hantraye, professeur de médecine chinoise et de fasciathérapie. Depuis son décès, il m’a paru évident de continuer à transmettre ces connaissances.
Pendant ce stage énergétique dans le Morbihan (en Bretagne, près de Brocéliande), je vous propose de découvrir, le temps d’un week-end, des lieux cachés contenant des formations mégalithiques mais également d’autres splendeurs.
Nous irons visiter des monuments chrétiens tels que des églises, des basiliques et des cathédrales afin d’établir un parallèle entre les différents sites mégalithiques et catholiques. Ces derniers ont, pour la plupart, été construits sur d’anciens lieux de cultes païens (la religion catholique s’étant beaucoup inspirée du paganisme et de ses rites).
La Bretagne fut un haut lieu du paganisme, avec de nombreux sites sacrés et énergétiques toujours actifs dont Brocéliande (dans le Morbihan) est le plus connu.
Pourquoi un week-end énergétique en Bretagne ?
Lors de ces 3 jours ensemble, nous nous rendrons sur ces lieux afin d’y pratiquer des soins. Chaque endroit possède ses propres vertus et celles-ci sont très spécifiques : il y aura donc différents procédés curatifs selon les lieux.
Le déroulement d’un soin s’opère de la même manière qu’une séance d’hypnose, à savoir : définition de l’objectif, phases d’induction, prétalk et approfondissement. Six soins seront octroyés à chaque participant durant ce week-end.
Toutes les personnes m’ayant consulté au moins une fois peuvent participer à ce stage énergétique. Cependant, je peux également accepter d’autres participants en faisant la demande, au cas par cas. Les thérapeutes et autres professionnels de santé seront prioritaires.
Voici quelques photos des lieux sur lesquels nous nous rendrons pour y réaliser les soins. Elles ont toutes été prises lors de mes week-ends dans le Morbihan.
Cependant, je préfère ne pas trop en dire pour garder l’effet de surprise. Chaque stagiaire devra s’occuper lui-même de trouver un logement. Toutefois, si certains émettent le souhait de partager une location à plusieurs, je peux les mettre en relation. Concernant les repas, ils ne sont pas compris et chacun pourra décider de nous suivre, ou non, pour le déjeuner dans des restaurants en adéquation avec le thème de ce stage énergétique.
Je suis cartésien : ce sera donc l’état d’esprit que j’incarnerai lors de ces week-ends. Notre présence a pour but de mettre en exergue l’énergie très spéciale de ces différents endroits et de la ressentir. Ainsi, nous pourrons mieux appréhender la façon dont les soins étaient prodigués voilà 7 millénaires. Selon les mesures du réseau Hartmann, il se passerait effectivement quelque chose sur ces points telluriques.
Tarifs
Stage entier
300 € pour 3 jours
220 € pour 2 jours
150 € d’arrhes sont demandées
pour valider l’inscription
De plus, je suis expert en hypnose : si certains le désirent, je pourrai vous permettre d’expérimenter la transe hypnotique profonde, l’état somnambulique.
Entrer dans ces lieux nous plongent dans un certain état qui est très lié à l’hypnose.
Durant ce week-end, notre travail consistera, entre autres, à trouver l’harmonie avec l’aura d’une pierre spécifique, de découvrir l’équilibre entre le féminin et le masculin ainsi que de prodiguer un soin particulier pour chaque organe.
Je vous conseille de regarder cette vidéo de Pierre-Alexandre Nicholas sur les réseaux sacrés. J’ai pu suivre un de ces stages. Comme moi, il est cartésien.
Mon stage énergétique diffère des siens dans le sens où je concentre l’exercice sur le soin. Loin de le contredire, cela a pour but de venir compléter ses procédés. Je reste entièrement disponible pour toute question éventuelle.
J’ai choisi d’effectuer ce stage en Bretagne, dans le Morbihan, et plus particulièrement Brocéliande, car ce sont mes lieux énergétiques de prédilection. Un lieu sacré est de prime abord un endroit intermédiaire entre la dimension cosmique et la dimension tellurique, bien avant d’être mis à jour et utilisé par l’être humain. En s’appropriant ces lieux pour exercer leurs cultes et procéder à leurs rites, les Hommes sont venus en consolider le fonctionnement naturel. Le lieu sacré n’a aucunement besoin de l’action des hommes pour fonctionner. A l’inverse, les monuments sacrés construits par l’être humain n’ont pas lieu d’être et s’avèrent inefficaces sans lui ni sans l’énergie du lieu sacré. Concernant les hommes, ils peuvent choisir de ne pas avoir recours à l’endroit sacré ainsi qu’à l’édifice, mais seulement à partir d’un certain stade évolutif.
Cependant, lorsque l’on combine l’homme, le lieu sacré et l’édifice sacré, nous sommes alors témoins de ce que beaucoup appellent des « miracles » ; alors que ce ne sont que l’action de la nature à l’œuvre dans ces lieux (consultez aussi ma page sur les « élémentaux« ).
Durant l’Antiquité, les dieux et les héros étaient honorés dans des sanctuaires que l’on appelle « hiéron ».
Ces hiérons pouvaient être n’importe quel endroit où les Grecs ressentaient une puissance divine comme, par exemple, une forêt, une source ou un lien foudroyé. Si un endroit était désigné par un oracle ou par un signe divin, il pouvait également devenir un hiéron.
Ensuite, la fin du 8ème siècle a vu la volonté des peuples de bien délimiter le terrain sacré et le terrain profane. Par exemple, lors de l’édification des villes, une limite est établie entre les espaces consacrés aux divinités et ceux dont pouvaient jouir les hommes.
Les terres dédiées aux dieux se nomme alors « téménos », qui veut dire « coupé » : dans le sens où on le sépare de l’endroit qui n’est pas sacré.
Dans les écrits d’Homère, on édifie un téménos afin d’honorer un roi ou un héros ; cela lui permet, en plus de la révérence, d’acquérir des richesses. Or, si on l’attribue à une divinité, il sera laissé à l’abandon avec toutefois la possibilité de le cultiver. On voit donc l’importance attribuée aux limites physiques du téménos : on le délimite avec des pierres taillées de manière grossière, imprécise. Parfois, ces pierres seront reliées entre elles par une corde qui portera inscrit le nom du héros qui possède le téménos ou du dieu.
Il pourra aussi être cerné d’une barrière ou d’un mur, le péribole. Quelles qu’elles soient, ces enceintes sont entretenues régulièrement et restent sous surveillance. Il n’est pas question de s’arroger la moindre parcelle d’un téménos, acte sacrilège puni par la loi.
Quand le lieu sacré du téménos est utilisé comme lieu de culte, il devient un sanctuaire. On a retrouvé des sanctuaires urbains, englobés par la ville, sur l’acropole, sur l’agora – d’ailleurs, l’agora d’Athènes est un téménos sur lequel de nombreux cultes avaient lieu. On trouve également des sanctuaires situés à la limite de la ville, et des sanctuaires placés à l’extérieur de la ville mais toujours sur le territoire de la cité. Ces derniers sanctuaires à l’écart des villes font souvent office de frontière entre deux territoires ou de délimitation entre la civilisation et le monde sauvage. Mais, quel que soit l’emplacement du sanctuaire, le lieu est toujours un point de rassemblement et d’unification de la communauté.
Le sanctuaire divin est la propriété des dieux et, en tant que tel, est l’objet d’une réglementation rigoureuse afin d’en préserver le caractère sacré et d’écarter de lui tout sacrilège. On y impose toujours une obligation de purification : entrer en contact avec le divin ne peut être accordé qu’aux êtres qui se sont soumis au rituel de l’hagnéia (purification). Ainsi, on ne peut pénétrer dans le sanctuaire sans s’être lavé les mains dans l’eau des vasques de pierre situées à l’entrée, puis aspergé de cette eau au moyen d’une branche de laurier. Il est interdit d’entrer dans un sanctuaire lorsqu’on a été plus ou moins récemment (la durée varie selon les sanctuaires) en contact avec la mort ou la naissance, contact qui a apporté des impuretés qui doivent être nettoyées par l’eau à la maison.
Certains rituels particuliers sont mis en place pour celui qui a versé le sang. De ce fait, au niveau juridique, il se retrouve exclu de la communauté. Il devra alors être purifié de nouveau par le sang pour effacer toute trace de souillure et revenir à une condition normale, en adéquation avec le divin. Cela s’appelle l’état de hosion. De plus, certains textes anciens mentionnent d’autres impératifs particuliers et relatifs à chaque sanctuaire concernant l’habit, le fait de porter une arme, les bijoux ou même la présence de certains animaux..
Tout est sacré à l’intérieur du sanctuaire : les arbres, les objets, les pierres etc… Chaque individu entrant dans le sanctuaire adopte également ce caractère sacré. Ce lieu est un asile (asylon) : tout ce qui s’y trouve est intouchable (sylè). Cela devient donc un abri, un refuge pour qui s’y présente selon le rite : en position assise à proximité de l’autel de la divinité ou de sa statue la représentant.
Un téménos consacré au culte, même le plus dérisoire, dispose toujours d’un autel. En effet, il est indispensable dans tout culte et il se trouve souvent à l’extérieur, en plein air. Celui sur lequel on effectue les sacrifices de sang destinés aux divinités est un tacle disposé sur un socle. Les individus brûlent alors la partie dédiée aux dieux et rôtissent celle qu’ils vont se partager et consommer entre eux. La taille de l’autel varie selon la dimension du sanctuaire. La pierre ou le marbre sont souvent les matériaux de prédilection pour ériger un autel. Cependant, il est arrivé que les cendres entassées issues des sacrifices aient pu entrer dans la composition d’un autel ; des cornes de chèvres ont également été utilisées à cette fin. Les sacrifices chtoniens étaient célébrés pour honorer les héros et les divinités souterraines : l’autel est alors aménagé sur le sol. L’intégralité du corps des victimes y sont brûlés (c’est ce qu’on appelle un holocauste) : le sang est ensuite versé dans une cavité.
Si le téménos est important, on y retrouve une statue dédiée au culte, en plus de l’autel.
Des offrandes lui sont adressées. Celles-ci sont récupérées sous les édifices du sanctuaire grec (les trésors, le temple etc..). A l’intérieur du temple réside un dieu. On y trouve une grande statue représentant ce dieu ainsi que toutes les offrandes faites par les fidèles.
Le temple peut également servir de lieu de protection pour le trésor de la ville ; comme à Athènes, par exemple, où toutes les richesses étaient gardées dans le Parthénon.
Cependant, certains temples ne font pas qu’office de demeure pour le dieu mais elles abritent également toutes les manifestations relatives au culte, dont les rites autour de l’autel. Les temples d’initiation aux mystères en sont un exemple.
Qu’ils servent d’abri pour un trésor ou bien de lieu de culte, les temples adoptent généralement une forme rectangulaire au niveau du sol. Cependant, on peut trouver des temples ronds, mais ils sont moins fréquents, et sont composés de trois pièces : la salle principale au centre avec la statue de la divinité, un vestibule et une pièce à l’arrière. Ils comportent des couleurs très vives et certaines parties sont sculptées pour honorer les dieux. Les portiques permettent aux fidèles de se reposer : ils arborent des scènes célèbres de la mythologie ou bien de l’histoire.
Le temple n’est pas l’habitat exclusif des divinités. En effet, on peut retrouver certains espaces qui leur sont dédiés dans les maisons ; à l’entrée, par exemple, où le particulier peut entreposer une petite statue de dieu afin de prévenir le mal de pénétrer. La fonction de cette statue est de protéger la maison. Elle est ointe et on y dépose une couronne de fleurs les jours de célébrations. Dans la cour, on entrepose l’autel dédié à Zeus Herkéios (« de la clôture ») ; le propriétaire des lieux y effectue les sacrifices. Cependant, le cœur du culte se trouve à l’intérieur de la maison : c’est ici que l’on procède aux rituels. C’est également applicable à l’ensemble de la cité : la hestia koinè (traduite par « foyer commun » est le point central du culte religieux et de la politique.
Source : http://lieuxsacres.canalblog.com/archives/2008/07/17/9959892.html